Redif

Chiant !

Mouais, j’ai l’impression de faire pas mal de retour à la case départ (sans toucher les 20’000.-)… Le genou, c’est de nouveau la merde (genre… encore !) et j’ai de nouveau l’attelle et j’ai même été jusqu’à ressortir une béquille, c’est pour dire. En ce moment, c’est mal de genou, mal de bras (merci béquille) et l’autre genou montre des signes de faiblesse.

J’vous l’dis, 2008 est une année pourrie.

PS: En même temps, vous étiez prévenus que ma laïfe était pas terrible du tout. u_u

0 thoughts on “Redif

  1. Estel says:

    Désolée, sincèrement.
    Mais heureusement tu as ton chat…. Comment ça c’est même pas un lot de consolation ;-)) !

    • Meuh si. Il me fait des gros câlins plein de poils que je mets 15 min à me décoller les poils après.

      Y’a toute une théorie du poil de chat à développer… u_u

    • 1. Rotules mal encastrées.
      2. Tendons trop souples.
      3. Muscles internes pas/peu développés.
      4. Poids. -_-‘

      Le tout combiné, ça donne des genoux grave pourris.

      Selon le calcul savant d’IMC, chuis même pas dans la catégories des obèses (bon, à 2~3 points près) alors je dois dire que le point 4 me reste en travers de la gorge. u_u

    • Zol says:

      La théorie de la savonnette ?? Excuse mon manque de culture à ce niveau, mais… Kézako ?

      En attendant, je suis tombée sur ça lors de mes recherches sur le net pour en savoir plus (une aspirine, please…) : (et bonne lecture, hinhin)

      [ > Alors voilà suite à ta demande je viens de faire l’effort de me
      > pencher une nouvelle fois attentivement sur son article
      > ” Relativité d’échelle, non différentiabilité et espace temps fractal”
      > (c’est peut-être celui-là même que j’avais parcouru avant pour y voir
      > son interprétation de l’électromagnétisme).

      > Voilà qui m’enlève enfin tout scrupule de dire que la théorie de
      > Nottale c’est de la foutaise intégrale.

      Tu es un peu dur, mais on ne se refait pas..

      J’avais lu ces articles , il y a quelques mois , j’ai essayé de m’y
      replonger, mais j’ai un peu de mal.
      Si on rentre dans le jeu, la plupart des formules se déduisent bien
      des hypothèses faites, ( ce n’est pas compliqué et ça se vérifie
      facilement) et il y a un développement d’outils liés à l’approche
      fractale qui me paraissent intéressants. On découvre un nouveau monde
      ou plutôt notre monde à travers un miroir kaléidoscopique..
      Maintenant c’est vrai qu’il y a beaucoup de flou: ex p 2
      “Seuls des rapports d’échelle ont un sens, jamais une échelle
      absolue”. C’est clair, mais c’est posé à priori sans justification
      aucune. Surtout on ne sait pas ce que cela implique: les lois sont
      elles invariantes d’échelles ?( ils y a peu de phénomènes physiques
      qui semblent l’être ), ont elles la même forme quelle que soit
      l’échelle ? ( Transformations d’echelles ?), cela se traduit il par
      des invariants ?( cf Th de Noether)etc..

      la réponse vient quelques lignes plus bas:

      ” le principe de relativité d’échelle consiste alors à demander que
      les lois fondamentales de la nature s’appliquent quel que soit l’état
      d’échelle du système de coordonnées”

      Faut reconnaître qu’il ne se mouille pas beaucoup ( j’aurais pu en
      dire autant).

      La suite concerne les concepts et formules de base, je trouve que cela
      devient intéressant quand on arrive p18 à l’invariance de jauge (
      électromagnétisme).

      ” En relativité d’échelle , ce qu’on appelle “particule” est identifié
      aux géodésiques d’un espace temps fractal”
      C’est une conception originale de la particule.
      Je n’ai pas bien vu où la géodésique était définie, je suppose que
      cela dépend de la résolution.
      ” la fonction de jauge qui intervient dans la formulation ordinaire de
      l’invariance de jauge, et qui avait été jusqu’ici considérée
      arbitraire est maintenant identifié au logarithme des résolutions
      internes”
      ” nous avons réinterprété dans le paragraphe précédent la
      transformation de jauge comme une transformation d’échelle de
      résolution”
      Celà reste encore un peu abstrait, mais c’est une tentative
      d’explication par sa théorie.
      Par contre dans l’application qui en est faite après quelques
      considérations triviales sur les rapport entre masse de Planck, masse
      de l’électron et les longueurs associées ( c’est de la MQ pur jus), il
      dit, je cite:
      ” Dans la théorie électrofaible, il apparaît que la constante de
      couplage de l’électrodynamique à basse énergie ( c’est à dire la
      constante de structure fine) dépend de l’échelle d’énergie [ ce qui
      est vrai en MQ et peut être un bon point pour sa théorie],… On
      s’attend ainsi à une relation entre masse et charge de l’électron qui
      s’écrit (50)..)”
      Le ” On s’attend ” montre que le truc est un peu parachuté.

      Je pense qu’il y a là quelques points concrets intéresants, sur
      lesquels on peut argumenter, bien que tu trouves que c’est une
      théorie ” savonnette”

      Je ne rejette pas pour autant sa théorie, je ne suis pas assez calé
      pour cela, mais je pense qu’elle est au minimum très incomplète et de
      nouveau je ne suis pas convaincu par le principe surlequel elle
      repose. ( celà me rappelle l’histoire du pont qui s’était écroulé
      parceque le ministre avait mal posé la première pierre : cf ” les
      copains de J. Romains). Il faudrait au moins le clarifier pour en
      indiquer les conséquences en terme d’invariance , symétries comme cela
      est en général fait ( pas toujours il est vrai, il y a même des
      théories sans principes fondateurs , les (super)cordes par ex, ce qui
      désespère bien E. Witten)
      Jacques
      > Là encore, je me permets d’en juger d’après ce qui est contenu dans
      > son article sans aller voir les ouvrages qu’il cite. S’il est vraiment
      > sincère et n’a rien à cacher il doit expliquer clairement à ses
      > lecteurs le sens de ses formules dans un article gratuitement
      > téléchargeable sans s’appuyer sur autre chose.
      > En l’occurence, ses affirmations et argumentations ont suffisamment
      > “l’air” de se suffire à elles-mêmes pour qu’on puisse dire qu’elles ne
      > seront pas mieux expliquées ailleurs.
      > Je ne vois pas comment il pourrait ailleurs leur donner un sens
      > défendable sans trahir le semblant d’articulations qu’il donne ici.

      > En gros, sa démarche c’est comme dans la cour de récréation où on
      > calcule l’âge du capitaine en fonction de la température de l’air et
      > autres paramètres du même style, sauf qu’au lieu d’utiliser simplement
      > les opérations d’addition, de soustraction et de multiplication pour
      > relier les variables, on utilise les formules de Lorentz et on appelle
      > ça de la relativité restreinte d’échelle. Ah, c’est vachement plus
      > savant comme ça. Et tous ses autres développements sont de la même
      > veine: il ne définit rien de ce qu’il introduit, il se contente de
      > vernir des non-sens d’une teinture mathématique par son usage de
      > formules à tort et à travers. Ou pour le dire autrement, de recoller
      > ensemble des formules de diverses théories valides de manière
      > aléatoire pour en faire un amas informe.

      > C’est bien pire qu’un “manque de fondement épistémologique pour le
      > principe de RE”: il ne définit rien, ses propos et formules n’ont pas
      > de sens.
      > Ils ne sont “même pas faux” comme dirait l’autre.

      > Plus concrètement:

      > – Bien sûr le théorème de Lebesgue il est vrai, ya rien à y redire.

      > – Bon, on introduit le epsilon comme servant à régulariser les
      > fonctions par une formule comme (2). C’est bien gentil mais je ne vois
      > pas le rapport avec la suite où ce genre de formule fondatrice
      > n’intervient nulle part concrètement. Surtout pas dans son
      > interprétation de l’électromagnétisme.

      > – Il définit sa dérivée d’échelle comme étant la dérivée par rapport à
      > la variable d’échelle à position constante. Bon, ça veut dire que la
      > notion de position (d’évènement) est définie indépendamment de
      > l’échelle. Donc son espace-temps est un bel ensemble de points
      > mathématiques indépendamment de l’échelle. Comme à une échelle donnée
      > on peut dériver par rapport à ses coordonnées, donc ses coordonnées
      > sont lisses et indépendantes de l’échelle, donc elles sont lisses dans
      > l’absolu. Donc l’espace-temps est différentiable.

      > – “Changeons l’origine du système de coordonnées” (10): son +L1
      > indépendant de l’échelle est issu de nulle part, n’a aucun sens.

      > – Formule (19): je défie quiconque de donner quelque justification que
      > ce soit à ce parachutage de l’indice mu comme correspondant aux
      > coordonnées d’espace-temps, d’une manière géométrique c’est-à-dire
      > indépendant du système de coordonnées choisi (invariant par
      > isométrie). Autrement dit, donner un sens à l’expression “les quatre
      > résolutions spatio-temporelles” qui en fasse les composantes d’un
      > quadrivecteur spatiotemporel.

      > Ca suffit ou il en faut d’autres ?

      > Bon, ça va m’obliger à revoir complètement ma page web à son propos,
      > ainsi qu’à insérer explicitement son cas dans ma liste noire à égalité
      > avec JP Galinat et autres inventeurs de théories du tout à la gomme.
      > Ca attendra un peu.]

  2. Dis toi que si tu dois faire des séances canapés un peu plus fréquentes, c’est ton chat qui va être content. Y supportent pas qu’on bouge dans tous les sens ces petites bêtes.
    Sans rire j’espère que ton genou se remettra le plus vite possible. Bon courage.

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