Ben 161 jours, c’est si je suis bien les délais de cette 4ème fois aussi. Mais je fomente le plan de demander à mon physio si je peux virer l’attelle avant l’heure. ]:) Niark.
Je la vois lundi… Donc si j’ai son feu vert, j’aurais fais dans les 147 jours cumulés d’attelle. J’économise 2 semaines, quoi. :p
Ouais, j’ai le moral. 🙂 Ca va bien. Même si l’année commence mal et que j’ai pas tant de choses réjouissantes dans ma life. :p
Et sinon, si on me proposais une quelconque chirurgie pour mes genoux, ben j’hésiterais pas beaucoup. Quitte à avoir des mois supplémentaires d’attelle et encore des semaines de physio douloureuse. La tranquillité à vie, ça n’a pas de prix.
Mais non, en gros, y’a pas grand chose à faire dans mon cas donc toute ma vie, j’aurais la flippe dès que je dois courir, me mettre à genou, danser… Et faut que je fasse gaffe à pas me tordre une cheville sur un bord de trottoir non plus, sinon, mon genou y passe aussi, c’est obligé.
C’est clair que si nous sommes nombreux à penser à toi et à tenter de t’envoyer des messages réconfortants, ça peut éventuellement aider moralement mais ça n’aide pas vraiment dès qu’il s’agit de sortir bosser ou d’aller faire les courses.
En même temps, moi j’dis, t’es prédisposée à ça, c’est normal que ça t’arrive…. 😐
Quelqu’un d’autre, c’est galère, toi tu gère ;;)
:)) Non mais c’est quoi ces théories à la con, ça serait la 10e fois (que Dieu te préserve O_O) c’est jamais “normal” :p Ou logique, ou même mieux…. XD
Tiens tiens.. C’est marrant comme les humains ne changent jamais :
-> on ne comprend pas l’humour (fût-il désespérément merdique) de quelqu’un qui essaie de détourner l’attention de la douleur physique;
-> On n’a pas le courage de lui dire en face, sans détour, le fonds de sa pensée;
-> On accepte docilement les insultes qui vont dans le sens de la pensée que l’on ressent sur le moment, même si le dispensateur de verbiages irrespectueux ne connaît ni la vie ni l’intégralité de la personne dont il parle (Samboyy);
-> On continue à creuser le trou autour de soi et l’on ne se remet pas en question (3 accidents pour intégrer le knee’s-no-good (réf. BD) concept ? ) ;
J’ai retrouvé le bout de papier m'””invitant”” à venir voir ton blog et je suis passé. Tu m’excuseras peut-être (ou pas, ça change quoi, dans l’absolu ?) de ne pas aller plus loin rétrospectivement que les pages où j’ai pu voir l’incompréhension d’une situation étalée à tout vent sur la Toile. J’y reviendrai plus tard, calmé.
Concernant ton 3ème incident de genou, ou les “pas de bol”(bâton qui rebondit exactement vers toi alors qu’on est 20… ) qui te sont arrivés pendant mes cours, je t’informe que j’en ai toujours été réellement et profondément désolé. Jamais je ne me suis permis de penser que tu n’étais “pas faite pour ça” ou autres pensées connexes. Celà dit, j’ai t.o.u.j.o.u.r.s indiqué à chaque élève qu’on pratique un art martial (c’est à dire une discipline qui prépare à affronter des dangers parfois léthaux). Ce qui ne va pas sans risque. En disant celà, je fais aussi référence à mes propres accidents au cours de ma pratique (on devient prof en 1 jour ? ). Ils furent “mémorables”.
Et par rapport à ce que je peux t’avoir dit, aussi maladroit que cela ait pu être, peut-être que tu oublies de signaler que j’ai instantanément arrêté le cours et demandé à un élève de me remplacer pour la suite, jusqu’à ce que toi-même tu me dises d’y retourner, que ça allait aller, etc. parce que je m’inquiétais pour toi. Je rappelle aussi que j’ai appelé les deux fois l’ambulance et que c’est sur ton insistance (pour des raisons XYZ)que j’ai rappelé pour leur dire d’annuler leur intervention, la dernière fois. Oubliera-t-on aussi ma proposition instantanée de te ramener en voiture jusqu’à la tienne, lorsque nous sommes ensuite allé prendre un repas en groupe, avec d’autres élèves ? le “boulet” manque décidément d’intérêt pour les gens qu’il aurait délibérément niaisés sur une seule remarque, c’est l’évidence-même pour certains.
Choisis tes “amis”, tes ennemis aussi. On peut tous faire des erreurs et c’est d’ailleurs pour cela que nous progressons. Nous régressons seulement lorsque l’on apprend rien d’un événement, ou qu’on les prend tous négativement. Alors, le poison s’insinue dans l’âme et ne fera que pourir l’intérieur d’un Être, ce qui se verra un jour ou l’autre en surface.
Tout le monde vit des malheurs qui façonnent sa vision des choses et poussent ses choix dans des directions parfois hasardeuses. Il faut simplement en avoir conscience, et c’est loin d’être toujours évident.
Je te souhaite un vrai prompt rétablissement définitif. Si c’est un problème osseux, ça ne s’arrangera jamais “par miracle”, si c’est ligamentaire, il y a des exercices qui permettent de les renforcer. Enfin, essaie de ne pas prendre trop de médicaments (trop, c’est quand on constate qu’on s’est habitué aux effets secondaires ou que l’on a modifié sa façon de réagir coïncidemment au début de la prise de ces derniers..) : ils sont une source de revenus sûrs pour une industrie qui n’est pas forcément très intéressée à ta guérison. Idem pour les chirurgiens.
J’espère que cette petite note sera lue un jour où tu te sentiras reposée et calme, car sinon tu interprèteras négativement, comme on le fait tous.
L’humain est un sachet de thé. La situation révèle sa saveur par ses réactions aux événements. Mais si tu rajoutes du sucre ou du vinaigre dans le thé (quand on n’a pas le moral, p. ex.), les réactions seront tout naturellement affectées, elles aussi.
À l’un de ces jours, Pouick , dans de meilleures conditions, j’espère.
En lisant ça, je me dit que tu as du penser que je parlais de toi. Mais pas du tout. D’ailleurs, on a pas causé online depuis une éternité. Je ne vois pas d’où te viens cette idée. D’ailleurs, je ne me souviens pas que tu m’ai sorti un truc dans le genre… Et je connais ton sens de l’humour pourri, enfin. :p
Le “boulet” c’est lui-même traité de boulet, je n’ai pas manqué de lui dire sur le coup ce que sa tentative de remontage de moral pouvait engendrer et il s’est excusé et on en a plaisanté. Il a vu cette note, il y a même répondu.
Je ne sais pas ce que tu as cru. Je n’ai pour ma part rien à te reprocher. Le manque de bol je l’avais avais avant de te rencontrer et j’ai suivis tes cours en toute connaissance de cause des risques que je pouvais encourir. [Le coup du bâton, même si c’était pas agréable sur le coup, ça reste un moment hautement comique, faut avouer.]
En ce qui concerne les genoux pourris, note que je l’avais bien compris dès la 3ème fois, mais bon… Vu qu’on ne me proposait pas de solution (même après 3 fois), j’allais pas rester posée sur mon canapé toute ma vie…
Bref… Tu peux fouiller le blog en long en large et en travers, tout le mal que je peux dire des gens qui s’y trouvent le savent très bien à la base. Même les collègues qui font des blagues pourries au mauvais moment.
…
Peut être pas mes voisins, si un jour je me décide à parler d’eux, ces cons. 😀 Quoique…
Roooooooh le boulet! 😀
Ouais, hein. u_u Ahem.
Il ne savait vraiment pas quoi dire pour se rendre intéressant dis donc!
Ca ne te grossis pas un peu le jogging avec l’attelle?
Mais je suis groooooosse ! u_u
Mais quel CON ! Yen a qui manque pas d’air…. u__u
Je mettrais plutôt ça sur le compte de la maladresse et de l’ignorance. 😀 On va dire que c’était sa minute blonde.
Mais ne lui souhaitons pas d’expériencer la chose, il habite dans un immeuble sans ascenseur. 😀 Ahem.
160 jours ?? Les boules !
Et au 170ième t’as droit á un cadeau ???
Ben 161 jours, c’est si je suis bien les délais de cette 4ème fois aussi. Mais je fomente le plan de demander à mon physio si je peux virer l’attelle avant l’heure. ]:) Niark.
Je la vois lundi… Donc si j’ai son feu vert, j’aurais fais dans les 147 jours cumulés d’attelle. J’économise 2 semaines, quoi. :p
*pleine d’espoir* 😀
marrant… ton coude, le mien c pareil/… bon sauf que le mien est pete pour de bon (et je refuse de faire les reparations avec la chirurgie).
Cool sinon que t’aie le moral…. et ermm… Prof??? ermmm pas top…
Ouais, j’ai le moral. 🙂 Ca va bien. Même si l’année commence mal et que j’ai pas tant de choses réjouissantes dans ma life. :p
Et sinon, si on me proposais une quelconque chirurgie pour mes genoux, ben j’hésiterais pas beaucoup. Quitte à avoir des mois supplémentaires d’attelle et encore des semaines de physio douloureuse. La tranquillité à vie, ça n’a pas de prix.
Mais non, en gros, y’a pas grand chose à faire dans mon cas donc toute ma vie, j’aurais la flippe dès que je dois courir, me mettre à genou, danser… Et faut que je fasse gaffe à pas me tordre une cheville sur un bord de trottoir non plus, sinon, mon genou y passe aussi, c’est obligé.
Bref… Il est beau l’avenir. T_T
C’est clair que si nous sommes nombreux à penser à toi et à tenter de t’envoyer des messages réconfortants, ça peut éventuellement aider moralement mais ça n’aide pas vraiment dès qu’il s’agit de sortir bosser ou d’aller faire les courses.
Bon courage et bon week-end ! 😉
Ca va, je m’en sors, je suis pas à la rue. 😉 k
Merci !
En même temps, moi j’dis, t’es prédisposée à ça, c’est normal que ça t’arrive…. 😐
Quelqu’un d’autre, c’est galère, toi tu gère ;;)
:)) Non mais c’est quoi ces théories à la con, ça serait la 10e fois (que Dieu te préserve O_O) c’est jamais “normal” :p Ou logique, ou même mieux…. XD
Oaf… ô_ô
Tiens tiens.. C’est marrant comme les humains ne changent jamais :
-> on ne comprend pas l’humour (fût-il désespérément merdique) de quelqu’un qui essaie de détourner l’attention de la douleur physique;
-> On n’a pas le courage de lui dire en face, sans détour, le fonds de sa pensée;
-> On accepte docilement les insultes qui vont dans le sens de la pensée que l’on ressent sur le moment, même si le dispensateur de verbiages irrespectueux ne connaît ni la vie ni l’intégralité de la personne dont il parle (Samboyy);
-> On continue à creuser le trou autour de soi et l’on ne se remet pas en question (3 accidents pour intégrer le knee’s-no-good (réf. BD) concept ? ) ;
J’ai retrouvé le bout de papier m'””invitant”” à venir voir ton blog et je suis passé. Tu m’excuseras peut-être (ou pas, ça change quoi, dans l’absolu ?) de ne pas aller plus loin rétrospectivement que les pages où j’ai pu voir l’incompréhension d’une situation étalée à tout vent sur la Toile. J’y reviendrai plus tard, calmé.
Concernant ton 3ème incident de genou, ou les “pas de bol”(bâton qui rebondit exactement vers toi alors qu’on est 20… ) qui te sont arrivés pendant mes cours, je t’informe que j’en ai toujours été réellement et profondément désolé. Jamais je ne me suis permis de penser que tu n’étais “pas faite pour ça” ou autres pensées connexes. Celà dit, j’ai t.o.u.j.o.u.r.s indiqué à chaque élève qu’on pratique un art martial (c’est à dire une discipline qui prépare à affronter des dangers parfois léthaux). Ce qui ne va pas sans risque. En disant celà, je fais aussi référence à mes propres accidents au cours de ma pratique (on devient prof en 1 jour ? ). Ils furent “mémorables”.
Et par rapport à ce que je peux t’avoir dit, aussi maladroit que cela ait pu être, peut-être que tu oublies de signaler que j’ai instantanément arrêté le cours et demandé à un élève de me remplacer pour la suite, jusqu’à ce que toi-même tu me dises d’y retourner, que ça allait aller, etc. parce que je m’inquiétais pour toi. Je rappelle aussi que j’ai appelé les deux fois l’ambulance et que c’est sur ton insistance (pour des raisons XYZ)que j’ai rappelé pour leur dire d’annuler leur intervention, la dernière fois. Oubliera-t-on aussi ma proposition instantanée de te ramener en voiture jusqu’à la tienne, lorsque nous sommes ensuite allé prendre un repas en groupe, avec d’autres élèves ? le “boulet” manque décidément d’intérêt pour les gens qu’il aurait délibérément niaisés sur une seule remarque, c’est l’évidence-même pour certains.
Choisis tes “amis”, tes ennemis aussi. On peut tous faire des erreurs et c’est d’ailleurs pour cela que nous progressons. Nous régressons seulement lorsque l’on apprend rien d’un événement, ou qu’on les prend tous négativement. Alors, le poison s’insinue dans l’âme et ne fera que pourir l’intérieur d’un Être, ce qui se verra un jour ou l’autre en surface.
Tout le monde vit des malheurs qui façonnent sa vision des choses et poussent ses choix dans des directions parfois hasardeuses. Il faut simplement en avoir conscience, et c’est loin d’être toujours évident.
Je te souhaite un vrai prompt rétablissement définitif. Si c’est un problème osseux, ça ne s’arrangera jamais “par miracle”, si c’est ligamentaire, il y a des exercices qui permettent de les renforcer. Enfin, essaie de ne pas prendre trop de médicaments (trop, c’est quand on constate qu’on s’est habitué aux effets secondaires ou que l’on a modifié sa façon de réagir coïncidemment au début de la prise de ces derniers..) : ils sont une source de revenus sûrs pour une industrie qui n’est pas forcément très intéressée à ta guérison. Idem pour les chirurgiens.
J’espère que cette petite note sera lue un jour où tu te sentiras reposée et calme, car sinon tu interprèteras négativement, comme on le fait tous.
L’humain est un sachet de thé. La situation révèle sa saveur par ses réactions aux événements. Mais si tu rajoutes du sucre ou du vinaigre dans le thé (quand on n’a pas le moral, p. ex.), les réactions seront tout naturellement affectées, elles aussi.
À l’un de ces jours, Pouick , dans de meilleures conditions, j’espère.
Le Clown de Service
En lisant ça, je me dit que tu as du penser que je parlais de toi. Mais pas du tout. D’ailleurs, on a pas causé online depuis une éternité. Je ne vois pas d’où te viens cette idée. D’ailleurs, je ne me souviens pas que tu m’ai sorti un truc dans le genre… Et je connais ton sens de l’humour pourri, enfin. :p
Le “boulet” c’est lui-même traité de boulet, je n’ai pas manqué de lui dire sur le coup ce que sa tentative de remontage de moral pouvait engendrer et il s’est excusé et on en a plaisanté. Il a vu cette note, il y a même répondu.
Je ne sais pas ce que tu as cru. Je n’ai pour ma part rien à te reprocher. Le manque de bol je l’avais avais avant de te rencontrer et j’ai suivis tes cours en toute connaissance de cause des risques que je pouvais encourir. [Le coup du bâton, même si c’était pas agréable sur le coup, ça reste un moment hautement comique, faut avouer.]
En ce qui concerne les genoux pourris, note que je l’avais bien compris dès la 3ème fois, mais bon… Vu qu’on ne me proposait pas de solution (même après 3 fois), j’allais pas rester posée sur mon canapé toute ma vie…
Bref… Tu peux fouiller le blog en long en large et en travers, tout le mal que je peux dire des gens qui s’y trouvent le savent très bien à la base. Même les collègues qui font des blagues pourries au mauvais moment.
…
Peut être pas mes voisins, si un jour je me décide à parler d’eux, ces cons. 😀 Quoique…
Cheers!